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la République une « indivisible, laïque, démocratique et sociale »nous paraît être le meilleur cadre possible pour des politiques efficaces de résistance aux assauts du capitalisme financiarisé et mondialisé.
Jusqu’où doit-on obéir ? La guerre 39-45 a posé, dans un contexte d’une exceptionnelle gravité, la question de l’obéissance aux ordres. Certes, bien au-delà d’une simple obéissance, certains en ont profité pour aller au-delà même des ordres reçus et pour s’enrichir mais c’était une période où l’on risquait sa vie en désobéissant
La démocratie directe existe depuis l'antiquité en particulier à Athènes. Aujourd'hui elle s'exerce en Suisse par de fréquentes votations. Mais la plupart des pays démocratiques modernes sont administrés par des représentants élus dans diverses Chambres, Assemblées ou Conseils : c'est la démocratie représentative.
Après la chute du mur de Berlin, le 9 Novembre 1989, célébrée dans le monde comme la victoire de la démocratie sur l’autoritarisme étatique l’idée de la fin de l’histoire a été théorisée par le politologue américain Francis Fukuyama.
Qu’est-ce qu’une constitution ? Partons d’une définition simple : une constitution c’est l’ensemble des règles juridiques qui organisent les relations entre gouvernants et gouvernés, donc les pouvoirs publics C’est en quelque sorte la « règle du jeu » politique. Avant d’aller plus loin en détaillant quelques dispositions particulières, il est important de voir qu’une constitution, dans un cadre démocratique, suppose un peuple souverain, c’est à dire un peuple qui a la volonté de se construire un destin commun et se dote pour cela de règles et d’institutions adaptées.
« Le vieux monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres » Antonio Gramsci.